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Vous proposer des produits de qualité est au cœur de nos préoccupations : Nous nous engageons pour vous offrir des produits Made In Europe, et même Made In France.
Pourquoi ?

Pour un engagement environnemental, sur deux niveaux :

  1. La réduction de l’impact des transports. Cet argument est partiellement contestable car toutes nos matières premières ne sont pas produites en Europe. Même en pratiquant autant que possible le made in France, le transport des matières premières est incontournable. La question est donc : vaut-il mieux transporter des matières premières ou des sous-ensembles (produits semi-finis) ? Nous tentons de trancher cette question en invoquant deux arguments. Le premier nous vient de la pénurie de composants : garder le contrôle de l’intégration des produits dans nos ateliers nous laisse la possibilité de nous adapter à un manque temporaire, de substituer une référence à une autre. Le second argument est d’ordre social, il sera exposé un peu plus bas. Arrivé ici, qu’en est-il de l’impact du transport ? Nous ne savons pas le quantifier…
  2. « Profiter » des politiques environnementales fortes en France et en Europe pour réduire l’impact de notre production sur l’environnement. En la matière (comme en beaucoup d’autres), la norme n’est pas un frein, c’est un outil … autre débat. On peut utiliser par exemple l’EPI, un indicateur synthétique qui évalue la « performance environnementale » des états , produire dans les états à EPI élevé signifie minimiser le coût environnemental de la production.

Pour un engagement social :

De façon très similaire, produire en France ou en Europe nous assure de bénéficier des normes sociales les plus avancées, les plus protectrices. Les sites de l’OCDE, par exemple ou du Forum Économique Mondial  permettent de mettre de chiffres sur ces notions.

Pour encourager le cercle vertueux :

Notre travail est possible grâce à des infrastructures et des services (santé, communication, éducation, transports, déplacements etc.), elles sont financées par la « création de richesse », pourquoi ne pas commencer par se préoccuper de celles qui nous concernent le plus directement ? Nous pensons que produire en France, c’est à la fois profiter et entretenir cela.

Pour sécuriser la production :

La substitution d’un composant par un autre lors de la fabrication d’un produit est devenue une action courante depuis 2019-2020, pour cela nous avons besoin d’une part d’un maximum de réactivité et de souplesse de la part de nos partenaires et d’autre part de garder le contrôle sur les étapes essentielles de la production. Ces exigences sont bien plus facilement satisfaites lorsque nos partenaires sont proches de nous.

Et enfin … parce qu’on aime bien discuter avec nos partenaires, leur soumettre nos nouveaux projets, nos bonnes idées (et même nos moins bonnes), trouver ensemble des solutions, avoir des relations de proximité en somme.

Alors certes, la production de STANEO ne représente pas grand-chose dans la balance du commerce extérieur, mais nos partenaires, eux, sont assez heureux de cette politique, et nous aussi !

Qu’est-ce que ça change pour vous, chers clients ?

A priori peu de choses. Cependant, si nos préoccupations sont partagées, alors nous sommes compatibles !

En chiffres :

Prenons l’exemple de du produit MICRO-CAB de STANEO. En considérant les 80% plus importants items individualisés (composants élémentaires et main d’œuvre), on arrive à la distribution suivante : 59% des coûts sont originaires d’Europe dont 34 en France, 18% en Asie. Il reste donc 20% des coûts sans localisation identifiée (items de faible valeur individuelle : composants électroniques passifs, visserie etc.). Pour les matières, nous avons identifié le lieu de production des articles et non le lieu d’achat.

Attention, il ne s’agit pas de l’origine préférentielle au sens des douanes. Les dernières transformations substantielles menant à nos produits sont bien effectuées en France, l’origine préférentielle de nos produits est bien la France. Pour en savoir plus jetez un œil ici ou .

Dans le détail les coûts de matière ajoutés aux dépenses de main d’œuvre se ventilent ainsi :

  • France : 34%
  • Pays-Bas : 14%
  • Taïwan : 12%
  • Allemagne : 9%
  • Chine : 5%
  • Espagne : 3%
  • Danemark : 1%
  • États-Unis : 1%
  • Philippines : 1%

Les 20 % qui restent concernent des achats d’articles de très faible valeur, dont la prise en compte augmenterait probablement la part de l’Asie.

L’origine des coûts de fabrication de MICRO-CAB par pays (matière et main d’œuvre)